Après la culture et les mœurs parmi les éléments permettant la distinction d'un peuple à un autre, on peut citer ``La mentalité``. Cette dernière, synonyme d'état d'esprit, peut être définie comme l'ensemble des manières habituelles de penser et de croire; puis des dispositions psychiques et morales liées à une collectivité ou encore commune à chacun de ses membres. Néanmoins, une interrogation fait surface, est-ce que les façons de penser d'un peuple peuvent constituer des obstacles à son développement?
En Haïti la mentalité est peu élargie, limitée et restreinte. Nombreux sont ceux qui en profitent pour user du peuple passif et ignorant. Ce qui mène les gens à se limiter en pensée, voir en action. Ainsi se crée un phénomène "d'auto-dévalorisation". Si on dit à un Haïtien : << Pense grand, vise grand, ainsi tu seras grand>>; il dira que cette phrase est magnifique et superbe mais que ça ne correspond pas à un pays comme le sien. Dans certaines régions du territoire, les superstitions dominent laissant ainsi dans la tête de ces habitants un grain de méfiance partout et pour tout. Pour toute illustration, on a déjà entendu certains dire que peu importe le degré d'importance d'une sortie, s'ils rencontrent un chat noir en chemin ils feront assurément demi-tour. Sur la totalité de la population, il y a 50% de gens superstitieux, donc 50% de ceux qui n'oseront pas dépasser ces mythes; donc 50% de ceux qui fermeront les portes de leur entreprise ou leur boutique s'ils remarquent le moindre détail inhabituel ou incompris. À bien analyser, cela entraîne un mécanisme de méfiance, de doute, de non-confiance qui déstabilisent le lien fort de la nation, cet esprit d'entraide et de coopération entre Haïtiens. À travers l'histoire, on a pas le portrait d'un Toussaint attardé, d'un Dessalines superstitieux et lâche, d'un Capois qui ne voyait pas plus loin que le bout de son nez. Comment imaginer Haïti si ces prédécesseurs n'étaient que des personnes à mentalité réduite? Qu'en dire de cet handicap mental qui vise son cap vers la terre d'Haïti?
Oh premier peuple noir libre, où est donc passé cette mentalité assez forte qui t'avait sorti des ténèbres de l'esclavage? Quand te libèreras-tu des chaînes de l'ignorance qui te guette? À l'instar de nos ancêtres, Haïti nécessite un surpassement de soi à travers chaque individu qui l'habite. *Sapere Aude*! <> a bien cité Emmanuel Kant. <>. Donc oui, les façons de penser d'un peuple peuvent constituer un avantage ou un inconvénient à son développement.
Depi on bon tan peyi a ap fè fas ak krim kote nou menm jèn pa epanye. Men kilè bagay sa te vin alamòd nan peyi a ki sak koz li ? enben ann fon ti pale de li. Si nou ta vle pale de krim nan peyi a nou ta dwe al gade nan listwa peyi a kòman sa te konn ye enben mouvman krim an ayiti nou ka di se sou tan kako donk depi bò zòn 1866 yo lè sa sou prezidan Salnave . Gwoup sa sete yon gwoup peyizan revòlte ki te itilize revòlvè pou yo goumen men yo pat pou kont yo , yo te gen gwo moun dèyè bannann yo tankou gwo komèsan , gwo popryetè tè yo tap itilize yo nan pwòp enterè yo , yo te ilize yo pou bay prezidan kou deta , nan zòn 1900 yo kako yo pral vin sèl kòk chante nan peyi kote yo retire prezidan sou pouvwa met prezidan yo vle m ka menm di tou se kako yo k te vin sou pouvwa nan epòk sa paske te gen nenpòt 3 nan yo ki te arive prezidan ,pou n pa twòp rete vin tonbe nan lane 1970 yo lè sa se te regim Duvalier a kite okipe pouvwa nan epòk sa pyès moun pat ka kritike prezidan ou kritike ...
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